Pour accéder à toutes les fonctionnalités de ce site, vous devez activer JavaScript. Voici les instructions pour activer JavaScript dans votre navigateur Web.

Évaluation de la prise en charge des Dasri - Dordogne / Foxoo
Local-events / Vos évènements relayés sur Twitter GUIDE   SUIVRE
Ma ville   Mes évènements   Annoncer un évènement
FranceDordogne
Source : #14321 Publié le 19/04/11 | Vues : 97

Évaluation de la prise en charge des Dasri / Dordogne


Evaluation de la prise en charge des déchets d'activités de soins à risques infectieux par les professionnels de santé en secteur libéral ( Enquête auprès des professionnels libéraux de santé de Dordogne) est une étude réalisée par Christine Castor, Emmanuelle Bodot et Nadine Astarie, publiée dans le BEH n°13-14, en avril 2011.

Les déchets d'activités de soins sont définis par le Code de la santé publique comme étant « les déchets issus des activités de diagnostic, de suivi et de traitement curatif ou palliatif, dans les domaines de la médecine humaine et vétérinaire ». Ces déchets peuvent présenter de nombreux risques : infectieux, chimique, toxique, radioactif, mécanique et exposer plus particulièrement les patients, les soignants et le personnel technique en charge de l'élimination de ces déchets. Les déchets d'activités de soins à risque infectieux (Dasri) sont des déchets qui ont une probabilité, même faible, de contenir des matières infectieuses :

* déchets « piquants/coupants/tranchants » (PCT)(aiguilles, scalpels...) ;
* déchets de soins (pansements, cotons, compresses...);
* matériel à usage unique (pinces, seringues, tubes...) ;
* petits déchets anatomiques (kyste, peau, liquide physiologique...).

Le Code de la santé publique prévoit que « toute personne physique ou morale qui produit des Dasri, quelle qu'en soit la quantité, en est responsable de la production à l'élimination ». Elle doit en outre répondre à un certain nombre d'obligations en matière de conditionnement, de stockage, de collecte et de traçabilité des Dasri.

Téléchargez le dossier complet sur le Bulletin épidémiologique hebdomadaire n° 13-14, avril 2011

En savoir plus
Partager :
Facebook